Hayden.. Ma petite "déesse" de la forêt..

*Mon dieux se mal de tête ? ou suis-je ? *
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*Cette voix en bruit de fond ? *
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*J’ais un mal affreux à la tête !*
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J’ouvre les yeux et je sursaute , mon dieux quel est cet endroit affreux,

* C’est pas vrai cette lumière m’éblouis serai je en train de mourir ? *
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* Est-ce la lumière de la mort ? *
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* Je ne pense pas, car elle me fait mal aux yeux plus que de bien , elle n’ai pas douce mais extrêmement forte , j’essaye de me caché les yeux, mais… *

* Qu’est-ce qui me retient ? *
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* Des chaînes , je suis attaché ! *

* Mais que c’est t’il passé ? *
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La voix est celle d’un homme je l’entend dans ma tête, a moins quel soit a côté de moi . Alors je me sent menacée , mais la lumière qui m’éblouit s’éteint , j’essaye de me libérer de ses chaînes en faisant appel à la nature, donc j’ouvre grand mes mains afin que je puisse me détaché de ses liens , mais rien… et là , la silhouette d’un homme m’apparaît et me dit .

« - Tu crois que toutes les forces enchantées de la nature t'obéisse au doigt et à l'œil?
Tout est possible, en effet, tout peu encore changer…
Jouer avec les sentiments je sais faire, jouer avec les humeurs aussi, mais ce que je préfère le plus, c'est jouer avec ta personne ma petite Hayden.. »

* Comment connaît t’il mon nom ? Qui est cet homme à la voix douce mais si terrifiante ? *
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Ce goût âcre dans ma bouche étouffés par un tissus blanc.
Il ma sans doute empoisonné, mais cet homme si effrayant, nous ne pourrions pas lui retirer son charme, un homme de taille normal, un physique pour lequel il doit faire certainement du sport, et s’en vente, dû à sa chemise noir ouverte, quelques légères cicatrices sur le corps et un visage fin et allonger surmonté de cheveux blond et de mèche plus foncé, relevé, dégageant son front et ses yeux d’un bleu océan, son nez et de taille et de courbe parfaite, mais sa bouche est certainement la plus belle que j’ai vu de ma vie elle est pulpeuse mais fine et dessiné par une couleur légèrement brune. Cet homme prend soin de lui et il veut le faire remarquer avec une certaine arrogance et d’un narcissisme sans précédent il est constamment en train de se regarder dans les miroirs de la salle, qui est encore plus inquiétante que lui, sombre, éclairer seulement par un néon défaillant clignotant tout les 5 secondes, sur les mur des graffitis recouverts par de la moisissure. Sur les quatre murs s’ont disposer des miroirs gigantesques, ressemblant fortement au salles d’interrogations des films policiers.

* Peut-être peut-il regarder a travers ce miroir chacun de mes mouvements ? *
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Mouvements pourtant réduis par ses chaînes, attachées par un mur de brique.
L’air est humide, froid et insupportable.
L’homme me parle et me dit :
« - Tu as en horreur les loups-garous et tout ce qu'il peut se rapprocher de leurs personnes? Très bien, très bien, je note... Je pense même avoir une idée délicieuse vis à vis de ce sujet.. Serais-tu prête à l'affronter?.. »

Mon dieux réveiller moi de ce cauchemar , j’essaye de crier de toutes mes force mais je m’écroule sur mes genoux par terre, collants complètement déchirés par le sol ripant.

J'était affolée, je cherchait une sortit mais il n'y avait q'une seule porte et verrouiller, et que seul l'homme égoïste dont je ne connaissait encore le nom possédait, mais alors que j'essayait de me relevé, cet homme narcissique s'avançât vers moi et me fit un sourire désolé, si seulement je pouvait le croire . Puis il me caressa les cheveux avec tendresse, une tendresse que je n'avait jamais encore ressenti, cet homme là devant moi, charismatique, semblait malgré la peur qu'il voulait me faire ressentir avec ses yeux perçant, ne pas avoir eu de tendresse dans son enfance ni même tout le long de sa vie. Puis il me dit:
"Ne t'en fait pas va.. Je suis certes méchant, mais pas non plus sans cœur..," me regarda et éclata de rire puis ajouta :
" C'est fou ce que je peux être drôle!.."
Il balança ma tête contre le mur, je me cogna légèrement, mais qu'avait t'il contre moi.
Peut être que jeune, une présence féminine lui manquait?
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Ou au contraire la trahit a ses yeux alors qu'il avait une relation fusionnel?
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Cet homme semblait avoir souffert en tout cas, mais cette violence, malgré le choc, malgré la douleur me fit ressentir un chose inhabituel dans mon estomac.
Une force ?
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Un drôle de sentiment que je ne pouvait expliquer ?
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Mais cette violence ma surprise, et ma ... excitée. Peut être est-ce le poison qu'il m’avait fait ingérer qui causa cet sensation ?
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Je ne sais pas.
.Puis son rire terrifiant s'arrêta et il reprit son sérieux puis me dit soudain:
" Tu aimes les défis? Celui-ci devrait te plaire.. " puis il se tourna vers le miroirs gauche qui était le plus grand de toute la pièce et s'exclama:
"Faites entrer les fauves"

A ce moment même un des miroirs se souleva et entra dans la pièce la pire espèce qui puisse exister, celle qui marqua toute ma vie de petite fille , celle qui a détruit ma vie, un loup-garou, non que dis-je deux.
Même dans l'un de mes pires cauchemars, celui la n'avait jamais eu lieu.
Les loup garous me tournait autour, me faisant sentir l’impression d’être comme de la chair fraîche qui sera leur prochain déjeuner. Puis un des loup garous me fixa dans les yeux ...

Mon dieu ! ses yeux sont regard ! il me fit pensé a celui de mon enfance.
Soudain toute les images me revinrent en tête , celle de ma mère et mon père éventrer, celle de mon frère capturé puis déchiqueter sous mes yeux. Celle d'Éos mon arbre protecteur proche de la mort me demandant un coeur de ses bête pour qu'il puisse survivrent.

Une douleur monstrueuse me monta à la tête traversant mes veines , mon cerveaux, puis je ne me sentit plus moi même, puis je détruit les liens qui me soudait au mur, me retourne devant la glace mes yeux d'un violet avait virer au rouge et ma peaux était blanche je me retourne, je regarde l'homme et lui dit :
" Oui, je relève ton défis, espèce de petite victime qui n'ose même pas se battre contre une femme de peur de se faire rétamer"Puis je lança un regard au loup garou ouvra mes mains et puis ... plus rien .

Je me réveilla les murs avait avoir l'air brûler, mais qu’est-ce qui c'est passer ?
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Je suis morte ?
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Suis-je en enfer?
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Mais l’endroit est le même ?
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Ces deux loup garous m’auraient tué ?… le néant total.
Puis j'entendit un bruit de la porte que j'avait aperçus avant l'arrivé des créatures qui ont désormais disparu. Mais la seul sensation que j’avais était la fatigue.

Cet homme aussi charmant que terrifiant me montre cet brindille de mon arbre protecteur Éos, ceci et horrible à dire mais je sens dans toute cet horreur une énergie qui m’excite follement . Cet homme d’une puissance folle est sûr de lui, et j’adore ce genre de protagoniste orgueilleux et légèrement narcissique. Le parfum déposer sur sa peau reflète complètement sa personnalité c’est-à-dire fort mais discret, imposant mais subtile, puissant mais exaltant. Il tenait et jouait avec ce bout de bois, le faisait rouler entre ses doigts avec une grande dextérité. C’était un homme manuel et tactile il me touchait constamment les cheveux me tenait l’épaule me la caressait des bout des doigt, quand il me faisait ça, toute la peur qu’il me faisait s’envolait comme si j’était en sécurité. J’observais cette brindille attentivement en pleurant, je me posait des centaines de questions a propos de l’état d’Éos.

* Est t-il encore en état de vivre ? *
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* Vas t’il être ronger par des parasites ? *
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* Est t’il encore vivant ou utilise t’il ses dernières énergies ? *
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Je m’aperçoit un peu plus tard qu’est disposer sur un crochet a viande une longue robe blanche , ainsi que parterre des bottes en peau de crocodile dorées puis plusieurs produits cosmétiques ainsi que des ciseaux. Tout se matériel excepté la robe et les chaussure n’était pas nouveaux il m’avait mis un crayon noir et un rouge a lèvre et de la poudre noir pour que je puisse tracé un trait chaque jour passés dans cette pièce et le ciseau en cas de coupure que je puisse découper un morceaux de tissu pour compresser ou encore faire un garrot . Je savais très bien et lui aussi que le ciseau était rouillé et qu’il pouvait finalement ma faire victime d’une infection . Quand à cette robe elle devait être finalement un vêtement de rechange. J’ai horreur de ce style vestimentaire, ceci me rappelle les vêtements que portait ma mère le jour du massacre. Il avait fait exprès de me mettre ceci devant mes yeux, ceci pour me faire encore un peu plus souffrir, du moins c’est se que je pense , j’ai une haine extrêmement forte envers lui, car il est…?!
Mais quel est cette sensation bizarre ?
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C’était celle que j’ai ressenti précédemment avec les loups garou .
Mon dieux une douleur atroce s’empare de mes veines pour aller jusqu’à mon cerveaux.
Sa recommence mais cette fois ce n’est pas un rêve je suis bien consciente .

* Précédemment ceci devait être un rêve prémonitoire alors ? *
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Je pris la brindille de mon maître la brisa en mille morceaux et la jeta par terre ,un instant de folie, une envie incontrôlable suivi du geste en questions répondit à mon désir envers mon kidnappeur.
J’embrassa l’homme mystérieux sur sa bouche fine et brune , me leva, me déshabilla devant lui sans aucune gêne pris la robe blanche éclatante puis la balança par terre dans une flac d’huile. Il en ressorti une robe très foncé, virant au gris noir , puis j’ouvrit ma main, une très légère chaleur s’évacuât de celle-ci faisant sécher cette longue robe devenu a présent sombre. J’était encore dévêtit face a lui, je me couvrit de cette robe cachant maintenant mon corps, j’enfila les botes, elles étaient parfaites à ma pointure, je me pourvu des ciseaux et me débarrassa d’une longueur de la tenue. Je la portait maintenant jusqu’au genoux, enfin je la déchirait pour faire plusieurs bandelettes s’arrêtant a la taille pour facilités mes mouvements, puis je sectionna l’avant de cette robe en forme de V pour laissé apparaître ma jambe droite. Un démon m’habitait , je ne contrôlait plus rien et cela me plaisait j’était une poupée avec laquelle on pouvait joué à sa guise jusqu’à son usure. Je m’occupa de mes cheveux les coupant n’importe comment, et les coiffant en bataille. Puis je me muni du rouge à lèvre et du fard à paupière noir ainsi que du crayon . Je me maquilla soigneusement devant les énormes glasses qui m’entouraient.
Je me retourna désormais devant l’homme que j‘ai précédemment embrasser.
Et le fixa du regard.