Une simple brise, puis la tornade, cet élément si imprévisible, si mystérieux. Sans doute le plus dévastateur des 4, car, il n'a pas d'endroit précis où il frappe, lui, il n'a que l'embarras du choix, il frappe où il veut, n'importe ou, n'importe quand. Ces 3 autres conccurent sont tous aussi dangereux, mais on peut deviner les endroits où ils peuvent frapper. L'eau frappe sur les cotes, le feu dans les endroits plus souvent secs, ou arborés, la terre, son plus grand conccurent, et tout aussi terrible, leur lutte peut faire de grand désatre, jusqu'a la destruction de la terre. Mais ici, dans cet endroit éloignés, le vent vivait... autrement. Le plus souvent, sa petite brise plaisait à tous. Ce champ, jonché de plantes, ne craiganit le vent que pour une seule chose: le vent traversait ce champ, et sur son passage, couchait quelque plantes qui laissait apparaitre des trous, sur une vue aérienne. Andy aiamt se vent, délicat, assez frais en été, mais pas trop en hiver, et surtout, il aiamit sentir le vent glisser entre ses plumes. Andy profitait de cette brise, surement éphémère. Ses ailes étaient déployés, sentant de plus belle le vent que traversait le long de ses ailes, et qui traversait aussi ses plumes. Une ou deux se décrochait parfois de ses ailes à cause de cette brise, mais de nouvelles ne tardait pas à réapparaitre. Il fermait les yeux, s'apaisant lui même, grace à cette brise. C'était,... surprenant, tous ces problèmes s'envolait avec cette brise. Ils reviendraient, évidemment, mais lorsque cette brise aurait fini son passage et qu'elle s'ennirait vers d'autre paysage. Pour le moment, ses souvenirs les plus obscurs n'étaient plus, et cela permettait à Andy un sentiment d'apaisement. Il fermait les yeux, profitant au maximum de ce vent.