Le vent est ... si doux [Joshua]

Une simple brise, puis la tornade, cet élément si imprévisible, si mystérieux. Sans doute le plus dévastateur des 4, car, il n'a pas d'endroit précis où il frappe, lui, il n'a que l'embarras du choix, il frappe où il veut, n'importe ou, n'importe quand. Ces 3 autres conccurent sont tous aussi dangereux, mais on peut deviner les endroits où ils peuvent frapper. L'eau frappe sur les cotes, le feu dans les endroits plus souvent secs, ou arborés, la terre, son plus grand conccurent, et tout aussi terrible, leur lutte peut faire de grand désatre, jusqu'a la destruction de la terre. Mais ici, dans cet endroit éloignés, le vent vivait... autrement. Le plus souvent, sa petite brise plaisait à tous. Ce champ, jonché de plantes, ne craiganit le vent que pour une seule chose: le vent traversait ce champ, et sur son passage, couchait quelque plantes qui laissait apparaitre des trous, sur une vue aérienne. Andy aiamt se vent, délicat, assez frais en été, mais pas trop en hiver, et surtout, il aiamit sentir le vent glisser entre ses plumes. Andy profitait de cette brise, surement éphémère. Ses ailes étaient déployés, sentant de plus belle le vent que traversait le long de ses ailes, et qui traversait aussi ses plumes. Une ou deux se décrochait parfois de ses ailes à cause de cette brise, mais de nouvelles ne tardait pas à réapparaitre. Il fermait les yeux, s'apaisant lui même, grace à cette brise. C'était,... surprenant, tous ces problèmes s'envolait avec cette brise. Ils reviendraient, évidemment, mais lorsque cette brise aurait fini son passage et qu'elle s'ennirait vers d'autre paysage. Pour le moment, ses souvenirs les plus obscurs n'étaient plus, et cela permettait à Andy un sentiment d'apaisement. Il fermait les yeux, profitant au maximum de ce vent.

Une existence bien longue…un monde bien compliqué…voici les quelques mots qui reflètent les pensées de Joshua, bien mélancolique en ce jour de printemps. Le soleil éclairait pourtant son chemin, la brise lui chatouillait les narines mais il n’en est rien, la souffrance de la solitude ne cesse d’accroître. La perte d’un amour sous le dégoût, puis l’amertume d’être une créature ne se maîtrisant guère signent la lente agonie du blondinet aux yeux mystérieux. Son esprit était perturbé, confus, empli de colère et de rage, le menant ainsi à travers la forêt. Il courait, ou plutôt chassait. Joshua avait faim, son désir de tuer refaisait encore surface une nouvelle fois. C’était étrange, cette ville semblait absorber chaque effort travaillé toute ces années et accroître la violence dans certains esprits. C’est dans un élan de folie que la peau de l’homme craquela, s’arracha et se transforma en une fraction de seconde en un pelage noir et teinté d’un gris argenté magnifique. Ses rugissements se faisant entendre jusqu’au champ de la mélancolie, où d’ailleurs il se rapprochait dangereusement. A ce stade de la faim, le lycan n’arriverait à faire la différence entre une brebis, qu’il chasse actuellement et une créature, si forte soit-elle….

Andy ne se souciait pas de se qui arrivait autour de lui, il était plutot préoccupper à apprécier se vent que lui passait entre les doigts puis entre les plumes de ses ailes. Puis un bruit particulièrement bizarre, surtout en cette journée, le bruit d'un loup, un hurlement, qu'on n'entendait jamais pendant la journée, et qui commencait à se manifester qu'a partir du soleil couchant et de la lune apparante. Pourquoi maintenant ??? Alors qu'il s'apaisait comme il le pouvait avec ce vent magnifique, ce loup, qui avait tout gaché. Mais autre chose arrivait, quelque chose qui lui voulait du mal surement, il n'était pas vraiment bon pour sentir les choses, mais c'était un préssentiment, on le guettait. Quelque chose allait arriver sous epu, mais il ne savait pas par ou ??? Comment et encore moins pourquoi. Il ferma les yeux, non pas pour mieux sentir le vent, mais pour se concentrer, et ainsi être prêt à s'envoler contre cette chose quand elle arriverais, il serit pret à bondir dans les airs et à s'envoler, pour être peut être, hors de danger. C'est dans ses moments là qu'Andy deveniat paranoïque, au moindre bruit, il paniquait, et regardait dans tous les sens pour voir s'il n'y avait pas quelque chose de suspect. Malheur à lui, il était tombé sur un loup, discret envers une proie qu'il veux absolument, il faudrait qu'il redoute d'une grande dextérité pour pouvoir l'évité, mais il n'y avait aucun moyen de savoir par ou il allait venir, et cela, était le problème numéro 1.

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